تفصيل المؤلف
مؤلف Kossmann, Perrine |
الوثائق الموجودة المؤلفة من طرف المؤلف (1)
Affiner la recherche
Disparition de la dynastie, extinction du culte ? Le cas des Lagides / Kossmann, Perrine in Revue de l'histoire des religions, 2 (Trimestrielle)
[مقالة]
عنوان : Disparition de la dynastie, extinction du culte ? Le cas des Lagides نوع الوثيقة : نص مطبوع مؤلفين : Kossmann, Perrine, مؤلف تاريخ النشر : 2018 مقالة في الصفحة: P291-P310 اللغة : فرنسي (fre) إنكليزي (eng) خلاصة : L'étude qui suit examine le devenir du culte des souverains dans le contexte du repli de la dynastie lagide du bassin égéen, en particulier en Asie Mineure. Si le culte dynastique des Ptolémées semble avoir assez systématiquement disparu dans cette région en même temps que leur domination, en revanche les cultes que certaines cités grecques instituèrent de leur propre chef pour les rois d'Égypte connurent un sort plus contrasté : une partie d'entre eux survécut, l'autre s'éteignit. Ces honneurs cultuels étaient souvent décidés non pour complaire au pouvoir dominant, mais par reconnaissance envers un souverain qui avait prodigué des bienfaits à la communauté, sentiment qui constitue une cause possible de leur pérennité dans certaines cités, malgré les vicissitudes politiques.
in Revue de l'histoire des religions > 2 (Trimestrielle) . - P291-P310[مقالة] Disparition de la dynastie, extinction du culte ? Le cas des Lagides [نص مطبوع ] / Kossmann, Perrine, مؤلف . - 2018 . - P291-P310.
اللغة : فرنسي (fre) إنكليزي (eng)
in Revue de l'histoire des religions > 2 (Trimestrielle) . - P291-P310
خلاصة : L'étude qui suit examine le devenir du culte des souverains dans le contexte du repli de la dynastie lagide du bassin égéen, en particulier en Asie Mineure. Si le culte dynastique des Ptolémées semble avoir assez systématiquement disparu dans cette région en même temps que leur domination, en revanche les cultes que certaines cités grecques instituèrent de leur propre chef pour les rois d'Égypte connurent un sort plus contrasté : une partie d'entre eux survécut, l'autre s'éteignit. Ces honneurs cultuels étaient souvent décidés non pour complaire au pouvoir dominant, mais par reconnaissance envers un souverain qui avait prodigué des bienfaits à la communauté, sentiment qui constitue une cause possible de leur pérennité dans certaines cités, malgré les vicissitudes politiques.