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مؤلف Egreteau,Renaud |
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Le coup d'État du 2 mars 1962 en Birmanie. Perceptions et réactions de la diplomatie française / Egreteau,Renaud in Relations internationales, 164 (Trimestrielle)
[مقالة]
عنوان : Le coup d'État du 2 mars 1962 en Birmanie. Perceptions et réactions de la diplomatie française نوع الوثيقة : نص مطبوع مؤلفين : Egreteau,Renaud, مؤلف تاريخ النشر : 2016 مقالة في الصفحة: P111-P136 اللغة : Français (moyen) (frm) خلاصة : À partir des archives diplomatiques du Quai d'Orsay, cet article développe trois axes de réflexions permettant de nourrir une meilleure compréhension des dynamiques du coup d'État militaire orchestré par le général Ne Win en Birmanie le 2 mars 1962, et d'examiner les réactions et perceptions de la diplomatie française. Cette étude éclaire d'abord le déroulement d'un moment particulier de l'histoire de la Birmanie indépendante, sur lequel il existe peu de témoignages directs. Elle offre ensuite un regard singulier sur la façon dont le coup d'État fut interprété et ses causes disséquées par les représentants français. Enfin, elle montre que l'instrument de la reconnaissance (ou non) d'un régime militaire ne faisait alors pas partie de la palette d'outils politiques de la diplomatie gaullienne, qui a ainsi cherché à établir une relation cordiale avec la junte birmane.
in Relations internationales > 164 (Trimestrielle) . - P111-P136[مقالة] Le coup d'État du 2 mars 1962 en Birmanie. Perceptions et réactions de la diplomatie française [نص مطبوع ] / Egreteau,Renaud, مؤلف . - 2016 . - P111-P136.
اللغة : Français (moyen) (frm)
in Relations internationales > 164 (Trimestrielle) . - P111-P136
خلاصة : À partir des archives diplomatiques du Quai d'Orsay, cet article développe trois axes de réflexions permettant de nourrir une meilleure compréhension des dynamiques du coup d'État militaire orchestré par le général Ne Win en Birmanie le 2 mars 1962, et d'examiner les réactions et perceptions de la diplomatie française. Cette étude éclaire d'abord le déroulement d'un moment particulier de l'histoire de la Birmanie indépendante, sur lequel il existe peu de témoignages directs. Elle offre ensuite un regard singulier sur la façon dont le coup d'État fut interprété et ses causes disséquées par les représentants français. Enfin, elle montre que l'instrument de la reconnaissance (ou non) d'un régime militaire ne faisait alors pas partie de la palette d'outils politiques de la diplomatie gaullienne, qui a ainsi cherché à établir une relation cordiale avec la junte birmane.